En Wallonie, le nouveau gouvernement a pris conscience de l’urgence sociale liée à la crise du logement : il a réduit les droits d'enregistrement pour les primo-acquéreurs de 12,5 % à 3 %. Un geste fort qui traduit l'ampleur du problème.
Mais une question subsiste :
Pourquoi l'immobilier est-il devenu si cher, bien au-delà de son usage ?
Immobilier : usage + réserve de valeur
L'immobilier joue deux rôles essentiels :
- Un usage concret (se loger, travailler, produire),
- Une fonction financière (servir de réserve de valeur).
Dans un monde où la monnaie perd de son pouvoir d’achat (c’est-à-dire de sa valeur, ) les individus cherchent à protéger leur épargne (en d’autres termes, l’énergie octroyé en reception de monnaie) dans des actifs rares, physiques et tangibles.
L'immobilier est alors devenu un outil de protection de la dévaluation automatique de son épargne et donc un refuge pour le capital.
Mais ce mécanisme a un effet pervers :
Le capital se fige dans la pierre.
Résultat :
- Des prix qui flambent
- Une offre qui se raréfie
- Moins de capital pour le développement de l’économie
- Et des générations entières qui voient la propriété s'éloigner
Et si Bitcoin changeait la donne ?
Bitcoin n'est pas un bien immobilier. Mais il possède des caractéristiques proches des meilleurs actifs de réserve :
- Rareté absolue (21 millions d’unités, pas une de plus)
- Aucun coût d'entretien
- Aucune taxe foncière
- Aucune gestion locative nu contrainte physique
- Mobilité et liquidité mondiales
En d'autres mots : Bitcoin est une nouvelle forme de « capital numérique » : rareté, sécurité et liberté combinées dans un même actif.
Il pourrait bien devenir, à terme, une alternative à l'immobilier comme réserve de valeur.
Une pression spéculative qui pourrait se déplacer
Si une partie du capital aujourd'hui bloquée dans la pierre se déplace vers Bitcoin, cela pourrait :
- Alléger la pression spéculative sur l'immobilier.
- Libérer des logements pour un usage réel.
- Et redonner une chance à l'accession à la propriété , notamment pour les jeunes générations.
Comme l'expliquait @Natalie Brunell dans son podcast Coin Stories, Bitcoin pourrait devenir un catalyseur de transformation sociale, en rééquilibrant la fonction du capital entre usage et réserve.
Conclusion : redonner accès à la propriété
Cette transition ne se fera pas du jour au lendemaint. Mais elle a déjà commencé.
Comme le résume Michael Saylor :
« Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, nous pouvons accorder des droits de propriété à huit milliards de personnes. »
Pour beaucoup, Bitcoin incarne l’espoir : celui d'une nouvelle forme de capital, plus accessible, plus fluide, et peut-être le levier d’un avenir où la propriété redevient possible.
Et l'espoir, ça compte.
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